Le pouvoir de l'argent
00:39. Mon voisin du dessus tape des pieds sur le sol. Ma chambre en dessous réagit comme un caisson de basse diffusant les graves parfaitement. Cette chambre est elle la meilleure construction possible pour la résonnance ?
Là est le problème mais n'est pas l'objet de l'article. Que faire, moi locataire comme lui comme droits ? et bien mes possibilités sont limitées: lui parler, appeler la police, lui casser la tete.
La 1ere solution a déja était menée je ne me souvient meme plus le nombre de fois. Pour officialiser cela j'ai même envoyé un recommandé, en vain.
La 2eme solution est véritablement la seule de viable, puisque la 3ème me transfert de la position de victime à agresseur , c'est moi qui risque le plus.
Bon, la police ok. A cette heure là, au commisariat d'ivry j'ai au bout de la 6ème sonnerie, une femme qui me déconseille de le frapper et me propose de l'appeler pour le mettre en garde. Chose qu'elle ne fera pas tout de suite et à mon nouvel appel me dira etre toute seule au commisariat pour gérer les appels, coordonner les équipes, et faire les autres démarches: comme appeler mon voisin du dessus.
En toute logique, selon ce système, tant que la personne à de l'argent, elle peut foutre le bordel jour et nuit, et n'a ainsi qu'à payer si jamais la police se déplace pour continuer d'être. Moi, je n'ai que la possibilité de déménager ou bien continuer d'appeler la police en prenant mon mal en patience.
Prochaine, étape, le tribunal. Je passerais probablement dans 10 ans, et devrais payer un avocat pour obtenir 200 euros de dommage et intérêts ....
Pour info, combien me coûterait un coup de boule, + lancé de chaine hifi par la fenêtre ? c'est peut etre intéressant, si moi je me prend 150 euros d'amende, le résultat est tout de suite, le risque est minime.
Quelle autre alternative, dans les deux cas ma santé mentale est en jeux.
Là est le problème mais n'est pas l'objet de l'article. Que faire, moi locataire comme lui comme droits ? et bien mes possibilités sont limitées: lui parler, appeler la police, lui casser la tete.
La 1ere solution a déja était menée je ne me souvient meme plus le nombre de fois. Pour officialiser cela j'ai même envoyé un recommandé, en vain.
La 2eme solution est véritablement la seule de viable, puisque la 3ème me transfert de la position de victime à agresseur , c'est moi qui risque le plus.
Bon, la police ok. A cette heure là, au commisariat d'ivry j'ai au bout de la 6ème sonnerie, une femme qui me déconseille de le frapper et me propose de l'appeler pour le mettre en garde. Chose qu'elle ne fera pas tout de suite et à mon nouvel appel me dira etre toute seule au commisariat pour gérer les appels, coordonner les équipes, et faire les autres démarches: comme appeler mon voisin du dessus.
En toute logique, selon ce système, tant que la personne à de l'argent, elle peut foutre le bordel jour et nuit, et n'a ainsi qu'à payer si jamais la police se déplace pour continuer d'être. Moi, je n'ai que la possibilité de déménager ou bien continuer d'appeler la police en prenant mon mal en patience.
Prochaine, étape, le tribunal. Je passerais probablement dans 10 ans, et devrais payer un avocat pour obtenir 200 euros de dommage et intérêts ....
Pour info, combien me coûterait un coup de boule, + lancé de chaine hifi par la fenêtre ? c'est peut etre intéressant, si moi je me prend 150 euros d'amende, le résultat est tout de suite, le risque est minime.
Quelle autre alternative, dans les deux cas ma santé mentale est en jeux.